16 février 2010
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Opiacées de nuit
Dépendance à l'envie
De voir, de croire encore
Aux ombres de ton corps
La chaleur étreint l'ombre
La douceur s'éteint et sombre
Je ne crois rien
Que toi, ton bien
Mais La nuit est éphémère
Et rend le jour cruel
Les rêves s'évanouissent
Ne sont que supllice
Amère déception
Des mirages de l'esprit
Semblantes belles émotions
Aux maux de nos vies
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Poésies
7 février 2010
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19:28
A celle qui vachement trop vache vous meugles laiteusement leur beaux petrin à laquelle nul ne se consoit meilleur.
Belles vaches que rien ne vous distinguent mieux que votre plus belle atout, votre peau.
Manger, manger belle du troupeau à qui on reconnait bien là le dons maternel et la mammelle bourgeonnante.
C'est qu'elles en ont du foin à se faire mais jamais on ne se lasse de ce pitoresque spectacle.
Elles se donnent sans barrières ni limite dans leur débat et les papitations de leur babille baveuse désespère le taureau.
Mes belles vachettes dur de cuir ses oreilles pendante, n'entend point les autres mugissement trop couvert par leur laborieux beuglement. Ruminante et désopilante surtout trop humainement ressemblante.
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Poésies
7 février 2010
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18:46
Sang d’encre pour maux du cœur
Ecrit ces intimes écueils
Les odeurs trop âpres de cette vie
Etouffent l'être que je suis
Trop d'âme en mon corps
Trop peu de lueur encore
Sombre femme soumise à sa peur
A qui les songes sont seuls douceurs
Un soleil au milieu de la nuit
Un monde au milieu de l'univers
Un paradis au centre de l'enfers
Tel est le rêve en cette vie
Donne un peu de paix à l'obscurité
Et un sens à l’absurdité
Puis ce monde se détruit
Pour mieux renaître à l’infini
Reste l’absence ou le regret
Et le pale souvenir de ce fugace été
Dure réalité pour l’éphémère
Dure faculté à devenir chimère
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Poésies
17 juillet 2008
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Monde de violence
Monde d’ignorance
Détruit les âmes broie les chair
Séduit l’Homme par la guerre
Le silence suit à la détresse
Au milieu du carnage un SOS
Plus rien, pas un bruit
Et si tout à tout plus de vie
Seule l’absence
La douleur et le manque
Croise les regards restant
Survie des vivants…
Des Souvenirs sur un tableau
Une œuvre au milieu du néant
Peinture dans notre cerveau
Pour seul acquis existant
L’éphémère du réel
L’éternité des maux
L’indélébile caresse
Au milieu des sanglots
Si l’amour se perd
Que reste-t-il des idéaux
Pour compenser l’hivers
L’été espère ses rameaux
Comme un silence après le heurt
L’inconscience dans la douleur
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Poésies
17 juillet 2008
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Il y aura plusieurs fois du sang sur tes mains
Le même sang humain et le mien
L’ardeur du monde dans tes yeux
L’odeur de la poudre dans tes cheveux
L’amer de la colère sur ta peau
L’âpre de la haine à tes mots
Tu flirte avec la mort,
Donne à la vie son chaos
Vieux rebelle à sa égoïste cause
L’ignorant à sa Dose
L’or dans la mort obstine les fou
Et la facilité comble les « trou »
Puis on oublie que l’adversité
Donne à la vie toutes sa singularité,
Puisque tu ne fais foi à mes dires
Je laisse ma morale à ton sourire
Et te rend l’imposture de ton auréole
A ton saint deuil… mon envole !
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Poésies
15 mars 2007
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L’envie de pleurer, crier
La douleur de la chair
La douleur éternel
Qui se prend à hurler
On se croît maître poète
A trop mal rimer on finit analphabète
Se plaint « Croire à l’espérance
Dans un monde d’ignorance »
Blessant cœur et âme
Au prix de quelque futile larme
Faire de la liberté un enfer
Pour la douleur de ses chaînes !
Vivre devient tragique
Survivre devient mélancolique
Sous un soleil hivernal
La vie d’un vide infernal
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15 mars 2007
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Sur son manteau noir j’ai vu du sang
Bout de vie attaché à sa perte
L’homme, tel un frénétique savant
Dont l’horreur aurait pris au jeu l’inconsciente bête
Et la mort sur son visage incandescent
S’est reflétée dans ces yeux d’adolescent
Au fond du regard cette douceur sadique
Reflètent des desseins lugubres, lubriques
Quel fut cette rage
Auquel nul ne trouve de cage
Malignité ou bien fatalité
C’est sa/une piètre banalité
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6 mars 2007
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Dame noir
Couleur du desespoir
Mon amour devient blême entre tes main
Qui n’a ni rose ni destin
Amour parti s’en fut ennemis
Armé de galanterie
Rougit de plaisir
J’ai faim de ce désir
Parce que j’étais trop perfectionniste
Tu m’as laissé aux supplices
Recluse dans mon interminable chagrin
Je n’y trouve plus de fin
Donne moi l’espoir
Que je ne pleur plus devant mon miroir
Ne me laisse point seule, solitaire
Pardonne à mes jours douloureux
Que je puisse sentir ton parfum chaleureux
Donne moi Ô mon amour pas la guerre
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6 mars 2007
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L’évidence à son éclat
Pâle, noir comme l’effroi
L’obscure à ton image
Qui ne fait de toi qu’une simple rage
Mais au fond de ton être d’un ironique sourire
Vivre ne te fait point jouir
Simplement que ton regard s’est perdu
Loin, et sans exister tu souffre
Malgré tout dans un souffle
En toi le sang, la colère se sont déjà épandu
Au fond de ton cœur
Ô tu meurs !
Jouet aux point d’acier
Qui semble s’admirer
Au point d’oublier
Sa propre réalité
Mais demain finira ta sentence
La fin de ta noir existence
Dans les bras de ceux en qui était ta confiance
Mais de ceux qui ont fait ton errance
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5 mars 2007
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Noir desseins que ceux de la nuit
Qui furieusement vous assaillis
La vie plongée dans l’horreur
Prise aux tourments de la peur
Qui ne voit pas s’écouler ses larmes sèches
Ridicule, écrasé par notre intense folie
Qui nous bascule dans l’antre de cette brèche
Infernal… futile… mais nous emporte, nous détruit
Que faire quand l’hivers
Vous broie de ces cers
Souffle une envie
Qui crie ça et là Ô vide !
Que n’y pouvait rien après coup
Que n’y pourrait rien après ces coups
Brusque est notre colère insoumise
Au grand soir souffle sa redoutable bise
Comme refrain volé à l’envie
De n’être que la plume d’un parchemin sans rime
Que je te souffle Ô ma douce souffrance mon crie
Que pleur ma bouche, le papier, et l’encre qui s’écrit
Ainsi va ma douleur
En cette fin de jour
En cette fin d’espoir et d’amour
De n’être rien que la plaie qui se ronge en douceur
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