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  • : Kerrygane
  • : "Quand la poésie rencontre le ciel Dans une folie de couleur Et la vie plongée tout à coup dans l'éternel D'un soleil à ses dernières lueurs"
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16 février 2010 2 16 /02 /février /2010 18:58
Opiacées de nuit
Dépendance à l'envie
De voir, de croire encore
Aux ombres de ton corps

La chaleur étreint l'ombre
La douceur s'éteint et sombre
Je ne crois rien
Que toi, ton bien

Mais La nuit est éphémère
Et rend le jour cruel
Les rêves s'évanouissent
Ne sont que supllice

Amère déception
Des mirages de l'esprit
Semblantes belles émotions
Aux maux de nos vies
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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 19:28
A celle qui vachement trop vache vous meugles laiteusement leur beaux petrin à laquelle nul ne se consoit meilleur.
Belles vaches que rien ne vous distinguent mieux que votre plus belle atout, votre peau.
Manger, manger belle du troupeau à qui on reconnait bien là le dons maternel et la mammelle bourgeonnante.
C'est qu'elles en ont du foin à se faire mais jamais on ne se lasse de ce pitoresque spectacle.
Elles se donnent sans barrières ni limite dans leur débat et les papitations de leur babille baveuse désespère le taureau.
Mes belles vachettes dur de cuir ses oreilles pendante, n'entend point les autres mugissement trop couvert par leur laborieux beuglement. Ruminante et désopilante surtout trop humainement ressemblante.
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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 18:46
Sang d’encre pour maux du cœur

Ecrit ces intimes écueils
Les odeurs trop âpres de cette vie
Etouffent l'être que je suis

Trop d'âme en mon corps
Trop peu de lueur encore
Sombre femme soumise à sa peur
A qui les songes sont seuls douceurs

Un soleil au milieu de la nuit
Un monde au milieu de l'univers
Un paradis au centre de l'enfers
Tel est le rêve en cette vie

Donne un peu de paix à l'obscurité
Et un sens à l’absurdité

Puis ce monde se détruit

Pour mieux renaître à l’infini

Reste l’absence ou le regret

Et le pale souvenir de ce fugace été

Dure réalité pour l’éphémère

Dure faculté à devenir chimère
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17 juillet 2008 4 17 /07 /juillet /2008 14:52

Monde de violence

Monde d’ignorance

Détruit les âmes broie les chair

Séduit l’Homme par la guerre

 

Le silence suit à la détresse

Au milieu du carnage un SOS

Plus rien, pas un bruit

Et si tout à tout plus de vie

 

Seule l’absence

La douleur et le manque

Croise les regards restant

Survie des vivants…

 

Des Souvenirs sur un tableau

Une œuvre au milieu du néant

Peinture dans notre cerveau

Pour seul acquis existant

 

L’éphémère du réel

L’éternité des maux

L’indélébile caresse

Au milieu des sanglots

 

Si l’amour se perd

Que reste-t-il des idéaux

Pour compenser l’hivers

L’été espère ses rameaux

 

 

Comme un silence après le heurt

L’inconscience dans la douleur

 

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17 juillet 2008 4 17 /07 /juillet /2008 14:51

Il y aura plusieurs fois du sang sur tes mains

Le même sang humain et le mien

L’ardeur du monde dans tes yeux

L’odeur de la poudre dans tes cheveux

L’amer de la colère sur ta peau

L’âpre de la haine à tes mots

 

Tu flirte avec la mort,

Donne à la vie son chaos

Vieux rebelle à sa égoïste cause

L’ignorant à sa Dose

 

L’or dans la mort obstine les fou

Et la facilité comble les « trou »

Puis on oublie que l’adversité

Donne à la vie toutes sa singularité,

 

Puisque tu ne fais foi à mes dires

Je laisse ma morale à ton sourire

Et te rend l’imposture de ton auréole

A ton saint deuil… mon envole !

 

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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 15:21

L’envie de pleurer, crier

La douleur de la chair

La douleur éternel

Qui se prend à hurler

 

On se croît maître poète

A trop mal rimer on finit analphabète

Se plaint « Croire à l’espérance 

Dans un monde d’ignorance »

 

Blessant cœur et âme

Au prix de quelque futile larme

Faire de la liberté un enfer

Pour la douleur de ses chaînes !

 

Vivre devient tragique

Survivre devient mélancolique

Sous un soleil hivernal

La vie d’un vide infernal
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15 mars 2007 4 15 /03 /mars /2007 14:42

Sur son manteau noir j’ai vu du sang

Bout de vie attaché à sa perte

L’homme, tel un frénétique savant

Dont l’horreur aurait pris au jeu l’inconsciente bête

 

Et la mort sur son visage incandescent

S’est reflétée dans ces yeux d’adolescent

Au fond du regard cette douceur sadique

Reflètent des desseins lugubres, lubriques

 

Quel fut cette rage

Auquel nul ne trouve de cage

Malignité ou bien fatalité

C’est sa/une piètre banalité

 

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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 14:48

Dame noir

Couleur du desespoir

Mon amour devient blême entre tes main

Qui n’a ni rose ni destin

 

Amour parti s’en fut ennemis

Armé de galanterie

Rougit de plaisir

J’ai faim de ce désir

 

Parce que j’étais trop perfectionniste

Tu m’as laissé aux supplices

Recluse dans mon interminable chagrin

Je n’y trouve plus de fin

 

Donne moi l’espoir

Que je ne pleur plus devant mon miroir

 

Ne me laisse point seule, solitaire

Pardonne à mes jours douloureux

Que je puisse sentir ton parfum chaleureux

Donne moi Ô mon amour pas la guerre

 

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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 14:45

L’évidence à son éclat

Pâle, noir comme l’effroi

L’obscure à ton image

Qui ne fait de toi qu’une simple rage

 

Mais au fond de ton être d’un ironique sourire

Vivre ne te fait point jouir

 

Simplement que ton regard s’est perdu

Loin, et sans exister tu souffre

Malgré tout dans un souffle

En toi le sang, la colère se sont déjà épandu

Au fond de ton cœur

Ô tu meurs !

 

Jouet aux point d’acier

Qui semble s’admirer

Au point d’oublier

Sa propre réalité

 

Mais demain finira ta sentence

La fin de ta noir existence

Dans les bras de ceux en qui était ta confiance

Mais de ceux qui ont fait ton errance
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5 mars 2007 1 05 /03 /mars /2007 17:40

Noir desseins que ceux de la nuit

Qui furieusement vous assaillis

La vie plongée dans l’horreur

Prise aux tourments de la peur

 

Qui ne voit pas s’écouler ses larmes sèches

Ridicule, écrasé par notre intense folie

Qui nous bascule dans l’antre de cette brèche

Infernal… futile… mais nous emporte, nous détruit

 

Que faire quand l’hivers

Vous broie de ces cers

Souffle une envie

Qui crie ça et là Ô vide !

 

Que n’y pouvait rien après coup

Que n’y pourrait rien après ces coups

Brusque est notre colère insoumise

Au grand soir souffle sa redoutable bise

 

Comme refrain volé à l’envie

De n’être que la plume d’un parchemin sans rime

Que je te souffle Ô ma douce souffrance mon crie

Que pleur ma bouche, le papier, et l’encre qui s’écrit

 

Ainsi va ma douleur

En cette fin de jour

En cette fin d’espoir et d’amour

De n’être rien que la plaie qui se ronge en douceur

 

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