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  • : Kerrygane
  • : "Quand la poésie rencontre le ciel Dans une folie de couleur Et la vie plongée tout à coup dans l'éternel D'un soleil à ses dernières lueurs"
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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 18:56

Au rive du silence et de l’abstrait

Coulant sur ta peau

Un infini été

Où s’épand la lumière en ton dos

 

Qui dira à la lune de fermer tes grands yeux

Où fulmine l’aube de nos aïeux

Tu dérives mon soldat

Dans l’étreinte de mes bras

 

Au rift des merveilles

Où souffle mot subtile à nos oreille

Ô doux silence habille nos corps !

Cacher dans l’abîme de la nuit en essor

 

Reste l’Intime cacher du soleil

En un semblant grain de merveille

Volés à l’Ardente éphémère

De cette amour mille fois centenaire

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19 février 2007 1 19 /02 /février /2007 12:46

Frère que le monde t’informe et te désinforme

Tel un jeu irréel plein d’image absurde hors normes

Au maître cruel et aux moeurs douteuses

Gracie de toute douceur et de vérité valeureuses

Elles sont d’une tel clarté éblouissante

Qu’elle crée des chaînes entraînantes

Fait de vagues hypnotiques

Et d’ondes électroniques

 

Frère que le monde te bouleverse et te hante

Ô Girouette incessantes !

Dont les mauvais vents tourne et retourne

Et t’engraine dans cette tourmente sourde

 

Frère que les larmes t’ont coulé

Silencieuses et trop innocente

Bouleverse un monde trop fait

Qui n’a plus de douce clémence

 

Qu’elles se gâtent ses valeureuses images d’antan

Ternie des couleurs de nos visions clairvoyantes

Jamais ne cesse les écumes de ses violentes informations

Qui s’exaltent, s’enivrent dans nos coeurs d’émission

 

Ne rêve que ceux qui savent ouvrir les yeux

Ne vivent que ceux qui savent aimer sans eux.

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19 février 2007 1 19 /02 /février /2007 12:44

(pour les Nains de Tolkien)

 

Le petit Homme assis sur le rebord du monde. Sans nul doute qu’il se sent pâlir face au vertige de l’avenir mais sa hache bien aiguisée le rassure, comme si porter une arme le protégerai de l’usure. Celle-ci plus grande que lui garde fermement les terres de son orgueil.

 

Petit Homme au bout du monde admire le faste de la vie. Petit mais l’honneur à bout de bras, il transporte. Ses yeux portés sur l’horizon admire les cambrure de ses montagnes.

 

Petit Homme qui voit le monde si bien du haut de son être. Il voit ceux que les autre harangue leurs tailles insidieuses et qui jamais plus loin ne voit. Il est fier de son honneur comme porté par une énergie plus forte, il se sent monté sur un pied d’estale.

 

Grand petit Homme assit sur la face du monde, pleur l’ignorance qu’il incombe. Tu portes ce monde à bout de force. Fardeau de la différence, fardeau de cette peur inconsciente. L’effluve de la vie t’emporte dans un courant d’espoir au grandeur anarchique et seul le recueil de tes maux semble transpercer ce silence qui t’entoure.

 

Même si la taille semble donner mesure à la bassesse d’esprit de certain, petit homme tu te vois grandir d’une fierté qui ferait plier l’ignorance et l’adversité.

 

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17 février 2007 6 17 /02 /février /2007 23:06

Si tu pouvais exister

Que le monde connaisse ton nom et ton visage

Toutes mes peines s’estomperaient

Et mon amour serait complet de ce présage

 

En ce soir, ces larmes baignent

L’immensité de ma peine.

Je n’ai nul endroit où me blottir

Loin de toi je me sens mourir

 

Je n’ai aucun avenir à réaliser

Pas un espoir auquel m’accrocher

Mais je marche sans savoir où aller

Dans un chemin qui ne cesse de s’éroder

 

Et je m’oublie dans mes pensés

Qui n’accorde que des regrets

La musique et le papier refuge

Aux mots et aux douleurs

Comme un écueil libérateur

Mais aussi d’eux mon seul subterfuge.

 

La fuite est mon unique refrain

Et la solitude mon alexandrin

Je me perd. Rien n’arrête ma chute. Je vois du noir partout et le monde s’assombrit. Ses feux de détresse sont les seuls lumières que j’aperçois.

Je cours à ma perte.

Loin de toi, oui, loin de toi.

Toi qui n’existe pas mais qui semble être ma seule belle réalité. Et chaque nuit je te fais renaître et au jour te fait disparaître.

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15 février 2007 4 15 /02 /février /2007 21:52

Pleur les larmes de ton corps

Au silence de tes mots, chaque jour devient trop lourd.

Ses larmes s’accumulent au long barrage de tes yeux


Pleur les larmes de ton corps

Laisse le vivre et changer

Fait le plus fort

Mais rend lui sa dignité

 

Ne le laisse pas pour mort

Ton corps est ton fort

Celui avec lequel tu es un battant

Celui avec lequel tu te défend

 

En cette chair, croule ta peine

Et sous cette façade blême

On croise les fantômes de ta haine

Mais crois le ou non il ne vaut pas qu’ainsi tu saigne

 

La vie blesse et mutile

Mais la vengeance est bien inutile

Car tel est ta force et ta malédiction

D’être toi plus grand dans cette déraison
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13 février 2007 2 13 /02 /février /2007 19:06

Des mots à l’intérieur d’un mur

Qui pourrait à jamais dire ce qu’il murmure

Le délire ou la délivrance ?

Tout dans ce dure et immobile silence

 

Comme si toutes les âmes s’y aspirés

La provocation et désespoir se font joués.

Elles se traînent dans l’ardeur de leurs feux internes

Et se recluent dans leurs intimes casernes

Les regards s’échauffent, se bravent dans un irréprochable combats. On les entend se murmurer à la fois des paroles violentes et aveugles.


Un regard… un murmure… un son…


La musique grave se silence devenue inerte, vole la plume de nos âmes et l’air s’inspire dans le séant d'un invisible Chœur.

Voilà un cœur vibrant d’une âme en transhumance.

Entre colère et défis elle octroie sa cadence.
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12 février 2007 1 12 /02 /février /2007 18:32

Je voudrais regarder le ciel

En écoutant battre ton cœur

Au rythme de la nuit qui s’étincelle

Et nous inonde toi et moi dans sa chaleur

 

Je te dirais, Je t’aime

Pour t’étreindre dans la douceur

Qui cueillera notre ardeur

Sous l’étoile et sa gemme

 

Mais aussi loin que porte mon regard

Mes yeux n’étreignent que le noir

Où fini les splendides écueils

Du soleil dans sa dernière lueur

 

Mes yeux ont besoin de ton visage et sa source

Ma bouche à besoin de te dire qu’avec toi fini ma course

C’est dans tes bras que je survie

C’est dans ces bras que je me nuis

 

Pourtant tu n’es qu’un beau songe de rêveur
Qui n’a fait de moi qu’une simple douleur
Qui me ronge et où s’éveille déjà ma solitude
Et fini mon indicible prélude…
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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 15:17

Je n’ai pas regardé en arrière. Seulement sur le coté. Sourire nerveusement sur ce vécu, sur tout nos espoirs désespérés. Rire pour ne pas pleurer, parler à son ombre pour ne pas crier. Fermer les yeux pour oublier, ne plus y penser. Le crayon sur la feuille pour donner tout ce que l’on ne peut garder. Le plus dur c’est de savoir, le plus énervant c’est ne pas savoir… . Entre réalité et inconscient c’est la vie qui prend ses racines.

Je ne vois plus le bout de ce chemin de ronce. Je ne vois plus l’éclat du soleil mais je le sens me brûler continuellement. Je ne vois plus les coups mais je les sens me heurter encore et encore sans pouvoir les arrêter.

Tombe au sol.

Ne plus se relever car à chaque fois que l’on se relève on se fait frapper. Parfois même au fond on accumule ces coups mais on ne sens plus rien…

On connaît déjà la fin.

C’est dur de se dire qu’avec même toute notre force, qu’on se démène, se déchaîne, quelqu’un vous frappe encore quand vous essayez de vous relever.

J’écris pour ne plus garder ses coups en mémoire. Pour enlever à ma mémoire ce qui me fait mal. Je garde le plus précieux, ceux qui garde mon âme au fond de mon cœur pour être forte pour eux.

 

Ps : Il s’agit de « coups » psychologiques…
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10 février 2007 6 10 /02 /février /2007 23:00

La grande douleur au fond de l’âtre. Le feu dévorant au fond de mon être. Tout se consume, se brûle ardemment puis s’éteint et le froid revient. Plus je ris plus je pleure. L’âme brisée qui n’a ni coté où se pencher cesse un soir de rimer tant la mélodie est longue et la plainte perdure. Mon amour je t’ai rêver à m’en user l’esprit. Ronger de remord de ne pas te cnnaître mais te sentir seulement toucher mon être. Des sensations au hazard des jours, des nuits mais qui jamais ne dure reste l’agonie dans le murmure. Je te vis, je te tue comme une nuit dont le lendemain est obscure. Mon amour au trépas ton agonie, ma douleur d’âme, ma vie vide s’acharne !

Paraître.

Qui sait ce que du monde tu redoutes le plus, le divin ou le charnel, la mort comme la vie n’a aucun goût sur tes lèvres.

Je te vis. Je te meurs.

Croyant l’indicible douleur que tu gardes de montrer. Est-ce un trésor ou un pathétique objet dont tu joues à te blesser.

Reviens, reviens, auprès des tiens, l’abandon et la fuite n’ont jamais fait de quelqu’un, un être digne.

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9 février 2007 5 09 /02 /février /2007 13:30

« Je t’écris poèmes fleuris

Pour donner à ta vie

Un peu de joie et d’amour

Qui ont fuit tes jours »

 

Amour, seule le vent sait ton existence

Seul le monde ignore ton apparence

Moi seule t’a créé

Pour un bref été

 

Et j’en ai rit

Et j’en ai pleuré

De n’avoir que le vide de mes bras à serrer

Pour cette nuit, infini

 

Lorsque mon amour tu vas

C’est toute mon être qui est au trépas

Pour cette imaginaire présence

Que tu fus pur moi ma plus belle récompense

 

Je serais l’aube que te ferais naître

Si tu étais, je te ferais mon maître

Je serais l’amour et sa muse

Je serais tout ce que tu use

 

Mais je t’aime et tu n’es réel

Que dans une partie de Moi

Qui souffre de ne pouvoir aimer tel

Que malgré toi…
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