Au rive du silence et de l’abstrait
Coulant sur ta peau
Un infini été
Où s’épand la lumière en ton dos
Qui dira à la lune de fermer tes grands yeux
Où fulmine l’aube de nos aïeux
Tu dérives mon soldat
Dans l’étreinte de mes bras
Au rift des merveilles
Où souffle mot subtile à nos oreille
Ô doux silence habille nos corps !
Cacher dans l’abîme de la nuit en essor
Reste l’Intime cacher du soleil
En un semblant grain de merveille
Volés à l’Ardente éphémère
De cette amour mille fois centenaire